Partager la publication "Vengeance glacée au coulis de sixties, un univers de passion auto – un polar au cœur des 24h du Mans 1966"
Tout d’abord, je tiens à exprimer ma reconnaissance à DESIGNMOTEUR qui m’offre l’opportunité de présenter mon dernier polar, une histoire où le sport automobile et les 24 Heures du Mans tiennent une grande place.
C’est avec un grand honneur que j’accueille Thierry Le Bras, un passionné automobile, pilote et écrivain, à venir s’exprimer sur sa passion, son parcours, et présenter ses œuvres, notamment son 11ème roman, un polar au cœur de l’univers de la course automobile. - Ewen, Team Principal DESIGNMOTEUR
J’ai commencé à écrire mon premier roman quand j’avais dix ans. C’était il y a un certain temps maintenant. L’histoire se passait à Lanester. Une bande de jeunes construisait une voiture dans le garage du grand-père de l’un d’entre eux avec l’objectif de participer aux 24 Heures, à d’autres grandes épreuves, et de construire leurs voitures en série. Certains comptaient devenir ses pilotes, d’autres préféraient se consacrer à la technique. Je n’ai pas fini ce premier récit, Le cahier de brouillon sur lequel j’avais rédigé le premier chapitre a dû finir à la poubelle avec des affaires d’école car je ne l’ai jamais retrouvé. Mais j’ai récidivé quelques années plus tard – l’année du bac de français – dans le cadre d’un concours de nouvelles portant cette fois sur la moto. J’ai fait partie des lauréats avec une histoire de motocross. Elle fut publiée dans un recueil aux Éditons Gautier Languereau. Il fut ma première publication en 1973. Lorsque le livre dans lequel il est paru est sorti, je préparais le bac. En savoir + sur le livre : DURES LOIS DU CROSS
A cette époque, écrire des fictions de course ne me suffisait pas. Dès que cela a été possible et avant même d’avoir terminé mes études, j’ai réussi à m’engager en compétition. - Thierry Le Bras, pilote et écrivain
A cette époque, écrire des fictions de course ne me suffisait pas. Dès que cela a été possible et avant même d’avoir terminé mes études, j’ai réussi à m’engager en compétition. Les résultats sont arrivés assez vite. Puis j’ai dû remiser ma combinaison et mon casque car il devenait impossible de concilier ma vie professionnelle avec celle de gentleman driver, tant pour des questions de budget que de gestion du temps.
Écrire les livres que j’aurais aimé lire
Ma vie professionnelle a suivi une trajectoire imprévue au départ et j’ai « dérapé » vers la presse et l’édition qui n’étaient pas supposés faire partie de mon road-book. Un retour à mes premières amours, l’écriture ! L’occasion de finaliser un vieux rêve, écrire des fictions que j’aurais aimé lire, des histoires policières qui se passent dans le monde de la course automobile.
« Les personnages de fiction vivent, non seulement dans l’esprit de leur créateur, mais aussi dans un monde parallèle où ils entraînent les lecteurs », écrivit Serge Dalens, un écrivain un peu oublié aujourd’hui dont j’ai lu la plupart des romans quand j’étais adolescent. Cette citation m’a toujours inspiré. Un héros de roman a un passé, un présent, un avenir… Il exprime des envies et des craintes que traduit son auteur. « Vous parlez de vos personnages comme s’ils étaient vos amis », a observé une journaliste qui m’interviewait au sujet d’un recueil de nouvelles. C’est ce que je ressens en effet. Je passe du temps avec eux. Je deviens leur biographe, un peu comme Watson fut celui de Holmes. Je raconte les histoires qu’ils veulent bien me confier…
Vengeance glacée au coulis de sixties
Vengeance glacée au coulis de sixties est mon onzième livre. J’ai pris beaucoup de plaisir à l’écrire. Dans un premier temps, Philippe, le héros du roman, croit vivre un rêve éveillé. Il est un jeune homme comme les autres, ou presque. Il adore les sensations fortes, les Cooper S, les Ford GT40, le Tour de France auto, le Rallye de Monte-Carlo, les circuits, les courses de côtes…
Soudain, un heureux hasard lui offre l’occasion de sympathiser avec Xavier Ferrant, grand espoir du sport automobile français. A lui les balades en Lotus et le privilège d’être invité avec le statut de VIP aux 24 Heures du Mans. Il suivra la course au sein du Team UTP qui confie le volant d’une Cobra à son nouvel ami.
Des incidents de parcours
Mais voilà, la vraie vie ne ressemble ni au Club des cinq ni aux Bisounours. Alors qu’ils se croient au paradis, le jeune Philippe et les proches qui l’ont accompagné vont se trouver au cœur d’une énigme criminelle. Car Xavier et son équipier Dany de Suliac sont les cibles de dangereux personnages déterminés à ruiner leur course et peut-être bien pire.
Heureusement, Philippe ne manque ni d’audace ni de défense. Il sait se montrer plus redoutable que son apparence policée le laisse croire. Il a déjà mené des combats sans pitié. Notamment contre la sulfureuse Pétassine, une courtisane sans scrupules. Le jeune homme a dû faire preuve d’initiative pour chasser l’intrigante de l’environnement de son père et protéger le couple de ses parents. Il a su contrer la vengeance de la terrible femme. Il a en outre prouvé son sang-froid quand ses copains et lui ont trouvé le cadavre d’un malfaiteur abattu par ses complices. La police a d’ailleurs redouté qu’ils soient tous en danger après la macabre découverte…
Au cœur des sixties et de la convivialité
L’action se déroule en 1966, au cœur des sixties. Plusieurs raisons à ce choix.
D’abord, l’envie d’offrir au lecteur une immersion dans la jeunesse dont il a rêvé. Ce concept suppose un voyage dans le temps. Et quelle meilleure destination que l’époque vintage, et plus précisément les années 60, symboles de tourbillon et d’insouciance ? Les sixties, c’est la vitesse libre, la confiance en l’avenir, les stars associées à la joie de vivre telles Sylvie Vartan, Brigitte Bardot, France Gall, Françoise Hardy, Johnny Hallyday, Claude François…
D’autre part, les sixties, ce sont aussi des voitures qui possédaient des personnalités bien affirmées, parfois sauvages, sans concession. Elles ne se ressemblaient pas et osaient des designs extraordinaires. Nous les regrettons d’autant plus que les automobiles courantes et accessibles sont devenues banales, sans odeur et sans saveur. Les constructeurs l’ont bien compris et de nouveaux modèles surfent sur la mode Vintage. Certaines voitures s’inspirent du design de leurs aînées (nouvelles Mini, Coccinelle, Fiat 500…), arborent leurs sigles (DS, Gordini, peut-être bientôt Alpine…), leurs couleurs (DS, Renault, voire Opel dont l’Adam propose des choix inspirés de ceux qu’offraient les Commodore, Ascona et Manta des années 70).
Ensuite, 1966 représente le point culminant d’un duel de Titans sur la piste mancelle. Ford et Ferrari s’affrontent dans une tension énorme qui dépasse les enjeux sportifs et économiques. L’origine de la rivalité entre Henry Ford et Enzo Ferrari est expliquée dans l’ouvrage, comme d’autres faits historiques, à commencer par le déroulement de la course cette année-là et les conséquences de la gestion des pilotes chez le constructeur italien. Quelques anecdotes sympathiques sur des pilotes très attachants, par exemple Pedro Rodriguez, contribuent à faire vivre la course de l’intérieur.
Enfin, les pilotes dits à l’ancienne étaient souvent des amateurs de bonne chère. Je l’ai observé quand je courais. Les meilleurs restaurants proches des sites de compétitions étaient pris d’assaut…. Ce goût de la gastronomie s’invite au menu du roman. Le vocabulaire culinaire dont les ingrédients enrichissent les conversations du milieu comme celles de la vie quotidienne pimente l’action. Philippe n’entend pas se faire rouler dans la farine par les ennemis qui envisagent de l’envoyer sucrer les fraises. C’est un dur à cuire qui a très envie d’envoyer les criminels au placard.
Au fil des pages, le lecteur s’identifiera à Philippe. Il dégustera de bons petits plats, de l’humour et du suspense aux épices d’angoisse. Et naturellement, il savourera des balades en Lotus et quelques kilomètres à bord d’une monstrueuse Cobra Daytona !
Où acheter Vengeance glacée au coulis de sixties ? Pour l’heure, le roman est un Ebook Kindle disponible sur Amazon. Une version papier sortira ultérieurement.
VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES – Thierry Le Bras
Le dernier polar de Thierry Le Bras démarre sur les chapeaux de roues pour vous piloter vers un flash-back vrombissant dans le formidable tourbillon des sixties.
Philippe Georjan est un jeune homme comme les autres, ou presque. Il adore les sensations fortes, les Cooper S, les Ford GT40, le Tour de France auto, le Monte-Carlo, les 24 Heures du Mans, les courses de côtes. Sans oublier les jolies femmes, les stars de son époque et la convivialité qu’inspire la gastronomie française… Un jour, il fera de la compétition automobile. Son cousin Laurent sera son navigateur en rallye. Il n’en doute pas et l’annonce fièrement à tous ses copains. L’action se passe en 1966. Les limitations de vitesse ne sévissent pas encore sur les routes et autoroutes. Les constructeurs automobiles proposent des voitures séduisantes qui offrent du plaisir, comme la Triumph Spitfire de sa belle cousine. La vitesse représente une valeur associée à la jeunesse et au dynamisme.
Mais voilà, deux événements vont bouleverser son univers. D’abord la découverte du cadavre mutilé d’un homme sauvagement assassiné sur le Fort National à Saint-Malo. Les tueurs traquent-ils la bande de jeunes à laquelle appartient Philippe en redoutant qu’ils aient découvert quelque chose qu’il ne fallait pas voir ? La police le craint… Au fil des jours, Philippe et Laurent pensent cependant que le danger s’éloigne. L’insouciance naturelle de la jeunesse et le hasard d’une rencontre avec un des pilotes du Team UTP contribuent à restaurer leur optimisme naturel. Ils éclatent de joie lorsque Xavier, leur nouvel ami, les invite à vivre les 24 Heures du Mans au sein de l’équipe pour laquelle il pilotera une Ford Cobra.
Mais à peine arrivés dans la Sarthe, de lourdes menaces surviennent. Pourquoi de dangereux gangsters veulent-ils ruiner la course de Xavier ? Philippe et Laurent ne manquent pas d’audace. Ils analysent les situations avec un humour froid grimé en apparente naïveté. Le contexte familial les a déjà contraints à mener des combats sans pitié pour protéger les leurs. Ils savent se montrer plus redoutables que leur apparence policée et bien élevée le laisse croire. Le dénouement interviendra aux 24 Heures du Mans pendant que sur la piste, les Ford et les Ferrari se livrent un duel d’anthologie.
Vous aimez les bons petits plats, la Nouvelle Vague, les idoles des années 60, les voitures de sport un peu folles de cette époque ? Ce sont aussi les péchés de l’auteur, qui ancien pilote automobile amateur, se reconnaît volontiers épicurien et nostalgique de la période vintage. Si comme lui, vous vous souvenez qu’avant de devenir un adulte responsable, vous avez été un adolescent turbulent, si vous aspirez à vous immerger quelques heures dans la jeunesse dont vous avez rêvé, ce roman vous comblera.
Bibliographie de l’auteur :
- NAVIGATEURS SOLITAIRES AUTOUR DU MONDE (La Découvrance – 1996)
- VENDÉE GLOBE (Gérard De Villiers – La Découvrance – 1997)
- 20 ANS D’AVENTURES TRANSATLANTIQUES DE SAINT-MALO A POINTE A PITRE (écrit avec François Thominet ; publié aux Presses du Midi – 2000)
- OLIVIER PANIS, Passion F1 (biographie officielle d’Olivier Panis, le pilote français de Formule 1 – ce livre est sorti le 2 juillet 2003 chez Hêtre Éditions. Il est préfacé par Mika Häkkinen, deux fois champion du monde de Formule 1) (*)
- Trois romans policiers : Circuit mortel à Lohéac, Faits d’enfer à Carnac, Chicanes et Dérapages de Lorient au Mans (Astoure – 2005 et 2006)
- GARE A LA MAIN DU DIABLE : thriller fantastique jeunesse (MPE – 2011 – disponible aussi en format ePub depuis novembre 2012)
- 7 NOUVELLES PIMENTÉES : recueil de nouvelles (Gaïa Village Publications – juin 2012)
- LE PACTE DU TRICHEUR : polar cross-age teinté de fantasy (KDP – décembre 2013)
- VENGEANCE GLACÉE AU COULIS DE SIXTIES : polar automobile, vintage et gourmand (KDP – 2014)
(*) les ouvrages traitant de voile ont été publiés sous le pseudonyme Thierry Georjan, tandis que la biographie d’Olivier Panis et les six fictions sont signés du nom patronymique de l’auteur.
Les inspirations motrices du roman de l’auteur
De là est née l’idée d’écrire une histoire policière et distrayante avec des personnages jeunes et insouciants qui rouleraient dans des voitures fascinantes, découvriraient les 24 Heures du Mans à l’occasion d’une de ses éditions les plus mythiques, croqueraient la vie à pleines dents, Un scénario décalé dans le temps, les personnalités et les perceptions, qui balance comme de la musique d’époque, intégrant le partage de la passion suscitée par des mythes de ces belles années.. Un menu de lecture original que je serais ravi de « servir » à des lecteurs prêts à vivre pendant quelques heures la jeunesse dont ils ont rêvé.
Naturellement, les personnages partageraient des bons petits plats avec le lecteur. Un zest d’humour cynique s’ajouterait au suspense et à l’angoisse qui constituent les ingrédients de base de tout polar. Ainsi, le roman célèbre-t-il les saveurs de plats appétissants et délicieux. Il vante les mérites de quelques cuisines de terroir et, « cerise sur le gâteau », met en scène de nombreuses expressions issues de la gastronomie qui illustrent les conversations quotidiennes et parfois le vocabulaire du milieu.
Bien que la passion de l’automobile et de la compétition soient très présentes, le livre enchantera aussi les lectrices. Les femmes s’y sentiront mises en valeur. A titre d’exemple, une jeune femme brune à la peau de satin conduit sa Triumph Spitfire pieds nus pour imiter ce que fait Françoise Sagan avec sa Jaguar… Cette belle Malouine de vingt ans porte des mini-jupes en tissu écossais, des bottes tout droit sorties de l’univers de Chapeau melon et bottes de cuir, ou encore un ciré blanc qui fait resplendir son magnifique visage. Celui de l’année, pensent les garçons qui la croisent. Elle affole bien des cœurs, notamment celui de son jeune cousin Philippe, narrateur de l’histoire.
Il est parfois risqué de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment, et encore plus de chercher à comprendre ce qui se passe. De tristes et dangereux personnages sont tout disposés à mettre fin à la vie de Philippe plus tôt que prévu. A celles des membres de son entourage aussi. Mais le garçon se permet des réactions surprenantes et hors norme pour défendre les intérêts qu’ils estiment légitimes, les siens et ceux de ses proches. Il l’a déjà démontré bien avant les 24 Heures du Mans. Les personnages à facettes obscures qui s’en prendront à lui le découvriront dans un récit où l’humour noir se révèle propice aux sourires cyniques.
La fiction au cœur de la réalité
Je me suis autorisé deux ou trois libertés avec la stricte vérité historique. Aucune Cobra ne courait au Mans 1966, hélas. Mais ça aurait été possible. Les publicités hors automobile sont apparues sur les carrosseries seulement deux ans plus tard. Mais c’était dans l’air du temps. Enfin, j’envisage un Tour Auto une année où il ne sera pas organisé. Par contre, de nombreuses scènes relatent la réalité, par exemple le conflit entre John Surtees et Ferrari ainsi que celui entre Ford et les organisateurs des 24 Heures après la sanction infligée à un pilote de la marque américaine. Ou encore le début de la formidable saga des frères Pedro et Ricardo Rodriguez, des pilotes que j’aime beaucoup et qui m’ont toujours fasciné.
John Norman Surtees est un ancien pilote motocycliste et automobile britannique. Après avoir décroché sept titres de champion du monde moto, il passe en Formule 1 et décroche le titre mondial en 1964. John Surtees reste à ce jour le seul pilote champion du monde moto et de Formule 1.
Ricardo Rodríguez est un pilote automobile mexicain, qui disputa cinq courses du championnat du monde de Formule 1 pour Ferrari au cours des saisons 1961 et 1962, avant de trouver la mort à vingt ans, à l’aube d’une carrière prometteuse, lors des essais d’une course hors championnat dans son pays natal. Son frère ainé Pedro Rodríguez a lui aussi accédé au championnat du monde de Formule 1 dans les années suivantes. Le circuit de Mexico qui a accueilli la Formule 1 jusqu’en 1992 et qui accueille de nos jours des manches des championnats Champ Car et Nascar Busch Series est baptisé Autódromo Hermanos Rodríguez en hommage à Pedro et Ricardo.
C’est avec plaisir que j’accueille la plume et la prose de Thierry Le Bras, pilote et écrivain de roman, polar, baignant dans les univers de la moto, de l’automobile et des courses légendaires tel que les 24 h du Mans. - Ewen, Team Principal DESIGNMOTEUR
Également, je vous invite à découvrir et lire son blog CIRCUITMORTEL.
Un exemple d’article !? Le post qui présente le film Rush.
Extraits choisis :
« Pour ma part, je ne connais rien de plus exaltant que la course automobile. Le pilotage est une jouissance absolue. Une folie dans un monde aseptisé, allergique à l’aspiration d’accomplir ses rêves ? Non, la défense de la liberté, celle de penser différemment, celle d’aimer les décharges d’adrénaline, celle de chercher ses limites, celle d’exister vraiment. A défaut de conduire soi-même des monstres mécaniques, le spectacle de pilotes en action est le plus formidable de l’univers. Merci à Ron Howard et à son team de le faire partager au grand public ! »
« Je l’affirme souvent, le monde du sport est un univers romanesque avec ses angoisses, ses héros, ses exploits, ses enjeux, ses dangers, et parfois ses tricheurs, voire ses malfaiteurs. Dans cet univers, toutes les sensations sont amplifiées. » - Thierry Le Bras, pilote et écrivain, Team Principal CIRCUITMORTEL
Rush, le film réalisé par Ron Howard, évoque la rivalité, durant les années 1970, opposant les pilotes de course automobile James Hunt (interprété par Chris Hemsworth) et Niki Lauda (joué par Daniel Brühl), qui atteint son paroxysme, titre mondial en jeu, lors de la saison de Formule 1 de 1976.
« Le film Rush est pour moi un excellent film tant par la direction photographique, artistique, l’interprétation, et le scénario. Cela m’a aussi permis de découvrir l’histoire de la F1 dans les années 70, étant de la génération 90. » - Ewen, Team Principal DESIGNMOTEUR
Source et images :
Thierry Le Bras
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