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En mars 2015, il y a deux rendez-vous de l’industrie automobile, il y a bien sûr le Salon de Genève du 5 au 15 mars, et à Paris, le 20 mars va avoir lieu Autorecrute le (seul) forum de recrutement dédié à l’industrie automobile. Ce sera la troisième édition en moins de deux années d’existence. Chez DESIGNMOTEUR, on salue l’initiative et tout ce qui touche de près ou de loin à l’industrie automobile, à tous qui œuvre pour notre passion de l’automobile. Via cet article qui présente l’événement dédié à l’emploi et aux métiers du secteur automobile, on va en profiter pour faire une revue de presse « Economie & Business » de l’industrie automobile française riche en actualité et en rebondissement, ces récentes semaines , après avoir présenté l’initiative d’Autorecrute et du Groupe L’argus.
Autorecrute et Groupe L’Argus
En 2012, Autorecrute.com est acquis par le Groupe Largus afin de donner naissance à une offre multimédia à destination des particuliers en recherche de consulter des annonces ciblées et aux professionnels de la construction, de la vente et de l’après-vente automobile.
« Avec cette acquisition, nous accompagnons tous les acteurs du secteur automobile en phase de recrutement sur des métiers qui connaissent souvent une pénurie de candidats. Nous agrégeons une offre dont la performance est déjà reconnue par les professionnels ainsi qu’une équipe expérimentée dont les compétences opérationnelles sont très complémentaires de nos propres équipes. » - Alexandrine Breton des Loÿs, Présidente du Groupe L’argus
Le Groupe L’argus continuera à propulser la marque nouvellement acquise : c’est désormais sous la bannière Autorecrute que l’activité emploi du Groupe L’argus sera développée.
« Autorecrute va bénéficier ainsi de la notoriété du Groupe Largus et de nos différents canaux de commercialisation dans le secteur de l’Automobile. »
- Guillaume Laporte, Directeur du pôle media et contenus du Groupe L’argus
« En additionnant les forces de L’argus et d’Autorecrute, nous allons réussir l’alliance de la parfaite connaissance du marché automobile avec l’expertise du recrutement sur Internet »- Stéphane Labrousse, Cofondateur d’Autorecrute.com
Dans le même temps, le Groupe L’argus, référence première de la presse automobile, envisage de développer ses pages emplois. Cependant, ne bénéficiant pas de la possibilité de dépôt de curriculum vitae sur son site, c’est désormais sous la bannière Autorecrute que l’activité emploi du Groupe L’argus se développe aujourd’hui.
Salon de l’emploi Automobile 2015
Le Salon Autorecrute se déroulera dans les locaux de L’argus à compter du 20 mars 2015. Le siège social du Groupe L’argus sera le lieu de rencontres des offres et des demandes dans le domaine du monde évolutif de l’automobile. En effet, ce salon sera l’occasion unique de découvrir tous les métiers et formations du secteur automobile. Sachez que durant ce salon les personnes qui sont à la recherche du travail dans le domaine de l’automobile auront la possibilité de choisir et de postuler pour près de 400 postes et formations à pourvoir. D’autant plus qu’une trentaine d’exposants dans ce secteur sera présent.
Certes, le monde automobile a connu quelques mauvais jours lors de sa perte de vitesse depuis 2008, l’emploi automobile est en train de redécoller. Quelques chiffres pour appuyer ce nouveau départ prometteur : durant le deuxième trimestre 2014, le baromètre CNPA* affichait un équilibre du solde embauches/départs.
*CNPA : Le Conseil National des Professions de l’Automobile est une organisation patronale française fondée en 1902 dont l’objet est de défendre les intérêts des entreprises de distribution et de service de l’automobile en France.
Revue de presse – l’emploi Automobile en 2015
Bientôt un troisième Salon de l’emploi automobile
Une nouvelle édition du seul forum de recrutement consacré au secteur automobile en France aura lieu le vendredi 20 mars, à Paris. Constructeurs, groupes de distribution et réseaux après-vente, équipementiers seront présents.
Après avoir transformé l’essai lors de sa première édition le 11 mars 2014 avec 500 visiteurs découvrant les offres d’emploi de 26 exposants de la filière automobile, le Salon de l’emploi Automobile organisé par Autorecrute.com a poussé les murs, vu plus grand et accueilli encore plus de candidats (1000) et d’entreprises du secteur automobile (33) lors d’une deuxième édition à fort succès le 7 novembre dernier. Constructeurs, groupes de distribution, loueurs, centres autos, enseignes VO, financeurs, cabinets de recrutement, écoles,… La liste des exposants étaient aussi variées que les postes proposés.
Face aux demandes de la filière et au plébiscite rencontré par ce forum de recrutement sectoriel, une 3ème édition aura lieu le vendredi 20 mars 2015
Les constructeurs (Volkswagen, Volkswagen Utilitaires, Audi, Skoda, Seat, Mercedes-Benz, BMW-Mini…), groupes de distribution (Renault Retail Group, RMC-Toys Motors, Nation, Cab Nation, Colin…), réseaux après-vente (Precisium, Groupauto, Euromaster, Feu Vert…), cabinets de recrutement (Care Consulting…), équipementiers (ZF…), écoles (Garac, CFI…), mais aussi MSX International, Van Heck, Transdev, la Brigade des sapeurs pompiers de Paris sont déjà exposants.
source texte : Bientôt un troisième Salon de l’emploi automobile via L’argus.
Toutes les infos pratiques sont à retrouver sur le site officiel du Salon de l’emploi Automobile
Revue de presse – l’industrie Automobile en 2015
Un secteur automobile qui recrute à nouveau ?
On nous dit que le secteur automobile recrute et pourtant depuis plusieurs années les constructeurs automobiles tentent de réduire les coûts et licencient en masse afin de faire face à leurs difficultés conjoncturelles combinées à l’arrêt de la prime à la casse : plusieurs plans de départ se sont succédés chez Renault et Peugeot depuis 2010**. Et si ces plans de départ étaient plutôt liés à une réorganisation des activités et à l’apparition de nouveaux besoins ? Moins de responsabilités en interne vs. plus de pression sur les sous-traitants ?
Renault et Peugeot vendent clairement moins de voitures et les plans de départ ne peuvent pas être totalement dissociés de cette réalité ; ils existent toutefois certains chiffres et certaines explications qui tendent à démontrer que le secteur automobile dans son ensemble se porte mieux que ce que l’on en dit souvent. Nous allons tenter de comprendre pourquoi.
Cette question mérite d’être posée car si l’on regarde le secteur automobile dans son ensemble, celui–ci est resté dynamique et pourvoyeur d’emploi depuis le début de la crise. Entre 15 000 et 20 000 recrutements annuels sont planifiés chez les équipementiers automobiles jusqu’en 2020 (source étude de l’Observatoire paritaire, prospectif et analytique des métiers et qualifications de la Métallurgie).
Alors pourquoi un tel besoin en recrutement alors que le marché ne se porte pas particulièrement bien ? Il existe 2 raisons principales à ce phénomène.
La première est liée au fait que les contraintes des constructeurs et donc des équipementiers évoluent et donc ceux-ci recherchent de nouvelles compétences, notamment au niveau de la consommation d’énergie, du rejet de CO2, etc.
La seconde explication vient de la pyramide des âges des salariés du secteur. Cette pyramide est vieillissante, les jeunes hésitant aujourd’hui à rentrer dans un secteur que l’on présente souvent comme sinistré. Et pourtant le secteur automobile représente plusieurs avantages pour les candidats : des offres accessibles sur plusieurs sites de recrutement spécialisés, un secteur accessible sans trop de barrières à l’entrée (notamment en termes de diplôme), un marché international dynamique, etc.
On comprend donc que lorsque l’on parle du « secteur automobile » il convient d’analyser l’ensemble de la chaîne de valeur et pas seulement de dresser un état des lieux de la santé financière des deux principaux constructeurs français.
source texte : Un secteur automobile qui recrute à nouveau ? via Autorecrute.com
** lire les dossiers « Histoire, économie, gestion et entreprise » :
Renault, Nissan, Dacia
PSA Peugeot, Citroën et DS
Au Salon de Genève, les constructeurs veulent tourner la page de la crise
Le Salon de Genève a ouvert ses portes dans un climat de net regain de confiance. Alors que la reprise du marché automobile se confirme en Europe, les constructeurs espèrent que les nouveautés présentées à la presse mardi et mercredi les aideront à tourner pour de bon la page de la crise. Après dix-sept mois d’affilée de croissance, le marché automobile européen a fait un bon démarrage cette année. Sur le mois de janvier, les ventes de voitures ont progressé de 7,1 % en Europe de l’Ouest, ce qui a conduit les analystes de LMC Automotive à revoir à la hausse leurs prévisions pour 2015 (de 2,5 % à 3 %). « Le marché européen a bien démarré l’année 2015, poursuivant la tendance de l’an dernier. Cela rend le secteur confiant dans le fait qu’il y aura une demande forte pour les modèles présentés à Genève », écrit Brian Walters, analyste chez Jato, dans une note.
Tirée par le besoin de renouveler un parc vieillissant, la reprise concerne maintenant tous les grands marchés européens, en premier lieu la Grande-Bretagne (+9,3 % en 2014), mais aussi l’Espagne (+18,4 %), soutenue par une prime à la casse. Seule la France reste encore à l’écart de cette reprise (+0,3 % l’an passé).
Dans le même temps, les marques généralistes ont épongé leurs pertes, à coups de fermeture d’usines, de réduction de lignes et de plans de départs massifs. PSA, numéro deux en Europe, a annoncé avoir retrouvé la rentabilité sur le Vieux Continent (lors du Résultat annuel 2014 de PSA : ‘Back in The Race’), tout comme ses concurrents Renault et Fiat.
Selon les agences Reuters et AFP, le quotidien Les Echos, cités par le Comité français des constructeurs d’automobiles, l’agence de cotation de bourse Euronext a annoncé le retour du groupe PSA Peugeot Citroën dans l’indice du CAC 40 de la place de Paris. Le groupe l’avait quitté deux ans et demi plus tôt à la suite de sa mauvaise valeur boursière de l’époque, et de ses mauvais résultats financiers. Ce « retour » intervient alors que PSA a réalisé un résultat opérationnel courant de 905 millions d’euros au titre de l’année 2014, après son score négatif de -364 millions d’euros en 2013. Cette réintroduction est liée aux effets positifs suite à l’entrée du Chinois Dong Feng et de l’État Français au capital de PSA, mais aussi à l’impact du plan Back in the race mis en œuvre par son nouveau président, Carlos Tavares.
Le retour gagnant de PSA Peugeot Citroën dans le CAC 40
« Etre présent dans le CAC 40 nous permet d’accroître notre notoriété à l’international en bénéficiant d’un meilleur suivi par la communauté financière » s’est aussitôt félicité un porte-parole de PSA Peugeot Citroën. Cela permet d’accompagner l’internationalisation du groupe qui est un élément important du plan stratégique »
A ce retour en grâce boursier, on peut trouver quatre raisons principales : Des comptes qui se redressent plus vite que prévu. Une stratégie chinoise gagnante
Le pari DS en voie d’être transformé. Un marché automobile porteur.
Lire la suite : Le retour gagnant de PSA Peugeot Citroën dans le CAC 40, via le site lexpansion.lexpress.fr
Ce retour au CAC40 suit de près celui de l’équipementier automobile Valeo, qui a été réintégré au CAC 40 en juin 2014 après 13 années d’absence.
Le retour de PSA dans l’indice CAC 40, qui fait suite à une décision du Conseil scientifique des indices, prendra effet le lundi 23 mars, a précisé dans un communiqué l’opérateur boursier européen qui chapeaute les places boursières de Paris, Amsterdam, Lisbonne et Bruxelles.
Pour rappel : pour déterminer la composition de l’indice, les experts se basent sur la capitalisation flottante et les volumes échangés. Parmi les 40 valeurs de l’indice parisien, on comptera désormais pas moins de quatre valeurs automobiles: PSA, Renault, Michelin et Valeo.
via l’article PSA signe son retour dans le CAC 40, latribune.fr
Lire aussi : Accord de compétitivité: Renault embauche 1000 CDI après avoir triplé son bénéfice net, via le site lexpansion.lexpress.fr
« Ces recrutements sont une bonne nouvelle pour Renault en France. Ils montrent que nos efforts de compétitivité portent leurs fruits », a assuré le PDG du groupe Renault, Carlos Ghosn, cité dans ce communiqué.
France: les ventes de voitures neuves en hausse de 4,1% en février
Le secteur automobile français a enregistré une hausse des ventes de 4,1% au mois de février, avec 147 130 nouvelles immatriculations. Une bonne santé confirmée après une croissance de près de 6% en janvier. Lire la suite sur le site de lexpress.fr
Cela dit, le Salon de Genève porte tout de même les stigmates de cette crise prolongée. Le flot de nouveautés semble un peu moins dense, compte tenu de l’annulation de certains programmes. C’est le cas notamment de la Citroën C5, repoussée d’abord par le partenariat avec GM puis par la décision de repositionner Citroën. (… face à la nouvelle marque DS Automobiles.
Le succès des crossovers sur le marché de l’automobile
Ce salon consacre une nouvelle fois le succès des crossovers. Alors qu’ils représentent plus de 20 % du marché européen, les SUV ne sont plus considérés comme un marché de niche. Sur son stand, Renault met en valeur son Kadjar, tandis que Hyundai dévoilera son Tucson. Chez Seat, le 20V20 un concept de crossover compact laisse supposer que la marque espagnole entrera bientôt sur le segment. Le haut de gamme ne sera pas en reste, avec le nouvel Audi Q7 et le concept QX30 chez Infiniti. Sur le créneau des citadines, Nissan va présenter un concept préfigurant sa future Micra qui sera made in France. Elle fera face à une Peugeot 208 restylée à mi-parcours et à la petite Opel Karl.
Les constructeurs vont aussi se disputer la clientèle familiale, que ce soit avec des monospaces (version 7 places de la BMW Active Tourer, Volkswagen Touran) ou avec des berlines familiales telles que la Superb chez Škoda. Comme à l’accoutumée, le Salon de Genève laissera sa part de rêve aux amateurs de grosses cylindrées. Ferrari attire sûrement les regards avec sa 488 GTB et ses 670 chevaux sous le capot.
Version copié-collé/révisé/actualisé/synthétisé de l’article du journal en ligne LesEchos.fr :
Au Salon de Genève, les constructeurs veulent tourner la page de la crise
Citroën pourrait changer le nom de ses modèles
Depuis une quinzaine d’année, Citroën a attribué à ses modèles la lettre C, suivie d’un numéro (C-Zéro à C5). Le phénomène d’hypersegmentation du marché automobile a rendu cette numérotation de plus en plus complexe : il y a d’abord eu Picasso pour les monospaces, DS pour le premium, Cactus pour les crossovers, ou encore C-Elysée pour la berline des pays émergents… L’acheteur finit par s’y perdre.
Confrontée au même problème, la marque Peugeot a elle aussi changé sa stratégie de numérotation. Il a été décidé que ses voitures porteraient toujours un numéro en 8, au lieu de progresser d’un chiffre à chaque génération. La première a avoir inauguré cette stratégie est la dernière 308, lancée en 2013, qui portait pour la première fois le même nom que l’ancienne génération.
Chez Citroën, cette réflexion s’impose d’autant plus que la marque est en train de revoir en profondeur son positionnement.
En effet, face à la crise du milieu de gamme en Europe, PSA souhaite différencier davantage ses marques pour limiter la cannibalisation. « Citroën doit incarner un design différencié, le confort et la technologie utile », rappelle Linda Jackson, la directrice générale de Citroën.
Pour Citroën, le cahier des charges n’a rien d’évident, d’autant que le nouveau PDG, Carlos Tavares, a l’intention de réduire le nombre total de modèles, tout en faisant de DS une marque indépendante. Faute de pouvoir descendre vers le « low cost », Citroën doit désormais représenter le confort, la « technologie utile », et proposer à ses clients « plus de ce qui compte vraiment ». En somme, elle doit s’inscrire en rupture avec la tendance du « toujours plus » pour répondre à une nouvelle conception de l’automobile, moins statutaire et plus utile.
La C4 Cactus, d’apparence un peu rustique, fait par exemple l’impasse sur les vitres électriques à l’arrière, le frein de parking automatique, ou sur une banquette arrière à plusieurs pans. Basée sur la plate-forme de la 208 en version allongée, elle offre tout de même des équipements récents comme une tablette tactile ou une caméra de recul.
Si la décision de mieux définir les territoires entre Peugeot et Citroën apparaît comme une nécessité en pleine crise des marques généralistes, les moyens pour y parvenir posent question. « Il nous paraît intéressant de repositionner la gamme C, les marques DS et Peugeot afin de ne pas se marcher sur les pieds. La démarche est pertinente mais pas encore aboutie », juge le consultant Dominique Allain, chez Autovista.
Du côté des concessionnaires, la C4 Cactus a mis du temps avant de convaincre, mais ceux-ci ont finalement réagi positivement à ce lancement. « C’est un véhicule clivant, reconnaît Gérard Grau, président du groupement des concessionnaires Citroën. Nous avons besoin de nous démarquer aujourd’hui. Ceux qui vont l’aimer la voudront vraiment. »
De plus, le plan de redressement lancé il y a un an par Carlos Tavares impose aux chevrons une refonte complète de sa gamme. Citroën devra diviser par deux le nombre de ses modèles d’ici à 2022 (de 14 à 7), faisant du coup l’impasse sur des segments historiques. Par exemple, il est probable que la C5 ne sera pas remplacée compte-tenu de la chute du marché des berlines familiales en Europe. Autre évolution marquante : la C4 pourrait elle aussi ne pas avoir de successeur dans sa version berline compacte, une silhouette également en déclin. C’est en tous cas l’hypothèse du cabinet de prévision IHS, qui fait référence dans l’automobile.
Tout ceci explique pourquoi Citroën pourrait changer le nom de ses voitures, d’autant que les silhouettes évoluent vite sur le marché automobile. En ce moment, beaucoup de monospaces deviennent des crossovers lors du renouvellement du modèle. C’est notamment ce qui est envisagé pour le remplacement de la C3 Picasso
source texte : extraits copié-collé/révisé/actualisé/synthétisé des articles suivants :
Citroën pourrait changer le nom de ses modèles, Lesechos.fr
Citroën fait le pari d’un nouveau design pour mieux se démarquer de Peugeot, Lesechos.fr
Bonus – Économie fiction
Fiat-Chrysler-PSA : le scénario fiction d’un rapprochement.
Economie fiction ou retour prémonitoire des grandes manoeuvres ? Alors que PSA se redresse tout juste, les analystes financiers, qui jugent le constructeur automobile français trop petit, imaginent déjà son futur stratégique. Témoin, le cabinet Main First présente dans une étude un scénario de rapprochement, dès 2016, du groupe français avec… Fiat Chrysler Automobiles (FCA).
Lire la suite : Une étude analyse le potentiel d’une alliance entre les deux constructeurs, lesechos.fr
Extraits :
Sur le papier, la complémentarité des deux groupes est élevée. Hors d’Europe, FCA est très présent en Amérique du Nord et du Sud, mais faible en Chine, premier marché de PSA. Au global, FPCA serait le quatrième constructeur automobile en Amérique du Nord, le premier en Amérique du Sud, le deuxième en Europe, et le dixième en Asie.
…
Au niveau produits, le nouvel ensemble serait le premier acteur sur le segment A (C1, 108, 500…) avec 811.550 voitures, et le deuxième sur le segment B (1,8 millions). D’autres synergies, sur le haut de gamme, les utilitaires, ou les moteurs – le nouvel ensemble serait premier acteur sur les petits trois cylindres – pourraient être trouvées.
Source et images :
Groupe L’argus, L’argus, Autorecrute,
Source texte : Les Echos, La Tribune, L’Expansion/l’Express, Challenges,
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