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La BMW Série 7 est le modèle d’automobile haut de gamme conçu par le constructeur allemand BMW, construit sur le site de Dingolfing, première usine automobile au monde à intégrer le PRFC (on va découvrir tout ça en détail). Cette série constitue le haut de gamme de la marque, représentant ce que BMW fait de mieux en matière de confort, mécanique et technologie. La sixième génération de BMW Série 7 a été présenté le 10 juin 2015. Et encore une fois, la firme Bayerische Motoren Werke propose de l’innovation dans toute la voiture et même au sein de la clé de contact. Profitons-en pour découvrir l’histoire de cette super BMW et les trois principaux designers qui ont conçu les BMW 7-series de 1977 à 2016.
Découvrons d’abord trois designer et leur parcours qui ont compté et raconte le design des BMW 7-series, de 1977 à 2015. Puis, cela permettra de mieux découvrir les E23, E32, E38, E65, F01, G11.
Histoire de designer – Paul Bracq
Paul Bracq, diplômé de l’école Boulle en 1953, travaille ensuite dans le studio de design de Philippe Charbonneaux puis chez Citroën. Il est engagé en 1957 par Mercedes-Benz pour dix ans. Il dessine les Mercedes-Benz 600, Pagode, Heckflosse (W108, W109, W110, W111 et W112) et « Stricht-Acht » (W114 et W115).
À son retour en France en 1967, il travaille chez Brissonneau et Lotz (BL est une entreprise française de construction mécanique, spécialement de matériel ferroviaire, à l’origine localisée à Nantes, puis sur plusieurs sites français, Creil et Aytré avant d’être intégrée au groupe Alstom en 1972) durant la même période, Bracq réalise le design des prototypes d’une voiture de sport basée sur la BMW 1600 et d’un coupé basé sur la Simca 1100.
En 1970, Paul Bracq devient directeur du design chez BMW, où il est notamment responsable du design de la Série 5 (E12), Série 3 (E21), Série 7 (E23) et en 1973 du concept-car BMW Turbo « Studie ». Cette Turbo « Studie » inspirera par la suite les M1, Z1, Série 8 et M1 Hommage concept.
Il travaille chez Peugeot à partir de 1974. Il est responsable du design intérieur des Peugeot 604, 305, 505, 2054, 405, 605, 106, 406 et 206. Il prend sa retraite en 1996. Bracq est aussi actif en tant juge dans plusieurs concours automobiles, dont le Pebble Beach Concours d’Elegance.
Paul Bracq, a BMW designer of the 70s. #BMWstories
From 1971 to 1974 Paul Braq was head of design at BMW. In this time, among others, he designed the BMW 7 Series and the famous BMW « Turbo » concept.
Histoire de designer – Chris Bangle
Chris Bangle, Après avoir entamé des études en psycho-philosophie, décide de poser une candidature en 1976 à la très réputée école de design Art Center College of Design de Pasadena en Californie où il est accepté grâce à ses travaux (surtout des bandes dessinées).
En 1981, diplôme en poche, le patron du design du Groupe General Motors, Chuck Jordan, lui offre un poste au sein de la marque Opel (échappant de peu à une carrière dans les effets spéciaux chez Disney). Il y mène à bien des projets tels que les Opel Tech1, Corsa Spyder et Junior. Les intérieurs des Opel Vectra et Senator de la même époque sont également réalisés par lui.
En 1986, il est employé par la marque Fiat à Turin. Occupant un poste de designer extérieur, il concurrence les grands noms qui faisaient la loi au sein de Fiat tels que Pininfarina, Bertone ou Giugiaro. Ainsi les Fiat 1993, Barchetta, Bravo, Brava et la magnifique Coupé sont issues de son travail. Après 6 ans de bons et loyaux services, il est appelé par BMW en 1992 afin de prendre la tête du design au sein de la marque BMW.
Arrivé depuis peu, il supervise la sortie de la série 3 (E36) ainsi que du Z8. La griffe « Bangle » appelée « flame surfacing » est surtout visible sur le X5 et le Z3 qui représentent le début de l’ère de Chris Bangle. La direction de BMW lui demandant de révolutionner le style BMW pour pouvoir concurrencer Audi et Mercedes, il s’attaque directement au vaisseau amiral de la marque, la série 7. Ayant un style osé et novateur pour l’époque, elle ne trouve pas son public auprès des puristes de la marque. Mais ce semi-échec commercial ne l’empêche pas de faire de sa manière de voir l’automobile une vraie success story au sein de BMW. Il signe ainsi les Z4, séries 3, 5 et 6. BMW développant son groupe, Bangle est nommé chef du design du groupe, supervisant les marques BMW, Mini et Rolls-Royce.
En 2009, il met fin à son partenariat avec BMW pour donner « un nouveau tournant à sa carrière » d’après ses termes. Pour partir sur un dernier coup de crayon, il présente le 10 février 2009 le concept-car Gina lors du Festival Automobile International. À cette occasion il passe le relais à Adrian van Hooydonk.
Histoire de designer – Adrian van Hooydonk
Adrian van Hooydonk entre chez BMW, en 1992, comme concepteur de carrosseries automobiles, à Munich (Allemagne). À partir de 2000, il dirige le département de conception de carrosseries automobiles du centre de dessin industriel de Bayerische Motoren Werke (BMW), DesignworksUSA, à Newbury Park, en Californie (États-Unis), participant à la conception de prototypes et de véhicules de série. Il préside le centre à partir de 2001, avant de le quitter, en 2005, pour prendre la direction du bureau de conception de la marque, sous les ordres de l’américain Chris Bangle, chef de la conception de BMW. Il a alors 80 personnes sous ses ordres. Le 3 février 2009, Chris Bangle annonce sa décision de quitter le poste qu’il occupe depuis 17 ans, ainsi que l’industrie automobile, pour créer son propre bureau de conception. Adrian van Hooydonk prend alors sa place à la tête du bureau. Il est ainsi chargé de la conception pour BMW, Mini et Rolls-Royce.
Il participe à la conception de la BMW E65 (série 7), mais c’est Bangle qui en est responsable et subit les critiques pour ce modèle, notamment pour l’« arrière Bangle », conçu cependant par Adrian van Hooydonk, en 1997, lors d’un concours interne opposant vingt concepteurs. Les premiers modèles produits après la transition sont les BMW F01 (série 7) et BMW F07 (série 5 GT), qui sont majoritairement l’œuvre de Bangle. Le premier modèle conçu par l’équipe d’Adrian van Hooydonk est la BMW F10 (série 5).
BMW série 7 E23 (1977 – 1986)
Motorisée exclusivement par des six-cylindres en ligne, elle est conçue sous la direction de Paul Bracq, patron du style de la marque de 1970 à 1974.
La série 7 (1977 – 1986) est constituée de huit modèles : 728 carburateur, 728i, 728iS, 730 carburateur, 732i, 733i, 735i et 745i. Les sept premiers modèles sont équipés de moteurs atmosphériques. Quant à la 745i, elle est équipée du même bloc de 3 205 cm3 de cylindrée que la 732i/733i, auquel est adjoint un turbocompresseur, équivalant ainsi à une cylindrée théorique de 4,5 L.
The first BMW 7 Series. E23.
BMW´s first upper-class Sedan combines driving pleasure and comfort. The first generation of the BMW 7 Series from 1977 became the benchmark for special equipment and luxury.
BMW série 7 E32 (1986 – 1994)
En 1986 arrive la génération E32, avec la 730i et la 735i équipées de moteurs 6-cylindres en ligne de 3 et 3,5 L, et d’un nouveau V12 de 5 L, développant 300 ch pour la 750i. En 1992, deux moteurs V8 de 3 et 4 L sont ajoutés à la gamme (730i et 740i). Tous les modèles sont disponibles en version longue (L), pour gagner 10 cm pour le confort des passagers l’arrière. La E32 achève sa carrière en 1994.
BMW 7 Series. The second generation E32.
The second generation of the BMW 7 Series (E32) is released in 1987. The idea was to create an elegant and dynamic vehicle for the business class. Hans Kerschbaum was involved in the development, first as a designer, later as head of aerodynamics. Many of his ideas are adopted, including the distinctive wide C-pillar or the rear side window with a raised edge for easy access into the interior. For the first time in BMW history, the typical L-shaped rear lights appeared at the BMW 7 Series.
BMW Série 7 E38 (1994 – 2001)
La troisième génération de série 7 (e38) fut produite de juin 1994 à juillet 2001 dans trois usines en Allemagne.
La gamme essence s’articule autour des versions essence suivantes :
6 cylindres : 728i. 8 cylindres : 730i/iL, 735i/iL, 740i/iL (V8). 12 cylindres : 750i/iL (V12)
La gamme Diesel débuta avec une seule version : 725 tds (L6, 2,5 L de cylindrée, 6 cylindres en ligne).
Elle fut restylée légèrement en 1999. Au moment du facelift de 1999, la version 725tds fut remplacée par les modèles 730d (L6, 2 980 cm³) et 740d (V8).
À partir de 1996, fut introduit de série la première boîte intelligente auto-adaptative (AGS Automatik Getrieb Systeme) à cinq rapports avec possibilité de passage manuel (+/-) des rapports aussi appelée Steptronic sur les finitions 750i/iL et en option pour la 740i. Ce système adaptait le passage des rapports au style de conduite du conducteur tout en tenant compte de l’environnement (montagne, hiver, embouteillage,…). Un système de capteurs sophistiqués permettait d’analyser le style de conduite (mouvement de la pédale d’accélérateur, fréquence des kick-down, …). En comparant la vitesse de rotation des roues à l’avant et à l’arrière, le système identifiait la nature du revêtement du sol.
La navigation (GPS MKI, écran couleur 4/3, CD-ROM, voix) intégrée fut proposée dès 1996 ce qui en fait une des premières voitures au monde à en être équipée.
La série 7 e38 bénéficia d’un excellent confort de roulage grâce au train avant optimisé par l’équipe de Klaus Faust : double articulation des pivots de fusée avec bras transversal et jambe de force. Le cadre auxiliaire avant a été rigidifié et allégé. La répartition des charges idéales 50:50 (avant/arrière) a été conservée par rapport à la série 7 e32. Le train arrière intégral est d’une conception totalement nouvelle. Un cadre auxiliaire est utilisé pour le train arrière et il est fixé à la carrosserie au moyen de quatre paliers en caoutchouc. Un système d’amortissement piloté (EDC Elektronisch Dampfer Control) était disponible en même temps que l’asservissement de l’assistance direction à la vitesse (Servotronic).
BMW atteindra avec la série 7 e38 un nouveau sommet en termes de distinction et d’agrément de conduite et partagera plus spécialement son moteur V12 (M73/M73TU) avec Rolls-Royce pour la version Silver Seraph.
Anecdote cinéma, c’est cette génération de Série 7 qui apparaît dans le 18e film de James Bond, « Demain ne meurt jamais ». La série 7 e38 apparaît également dans le film « Le Transporteur » sorti en 2002, on y voit le héros interprété par Jason Statham conduire une 735 i noire.
BMW Série 7 E65 (2001 – 2008)
La quatrième génération de la série 7 est apparue en 2001. Elle fut le premier modèle de la marque à intégrer le « Flame Design », mouvement stylistique lancé par Chris Bangle.
Après avoir remplacé « l’ancien » V8 4,0 L (258 ch) par un V8 4,4 L (300 ch) BMW renforce son moteur en portant sa puissance à 329 ch.
Ce modèle existe aussi en version réalisée par le constructeur indépendant Alpina, appelée B7.
Lire en complément à propos du constructeur Alpina : Alpina B5/B6 Biturbo Edition 50 feiert 50 Jahre der Firma Alpina: Motorarbeit BMW 4.4 liter V8
BMW Série 7 F01 (2008 – 2015)
Les BMW F01 / F02 sont la cinquième génération des BMW Série 7. Les premiers modèles disponibles sont les 750i, 750li, 740i, 740li et 730d.
Les 750i et 750li utilisent le nouveau V8 injection direct à Twin turbo (aussi utilisé pour le X6 5.0), développant 407 ch/300 kW. Les 740i et 740li troquent par rapport à l’ancienne version leur V8 pour un 6-cylindres en ligne lui aussi doté du Twin turbo, développant 326 ch/240 kW. La 730d a quant à elle droit à un nouveau 6-cylindres en ligne de 245 ch/180 kW. Par la suite, la Série 7 de nouvelle génération sera accompagnée d’un nouveau 12-cylindres essence ainsi que du 6-cylindres Diesel bi-turbo de 306 ch.
BMW Série 7 G11 (2015 – …)
The all-new BMW 7 Series – Teaser
The all-new BMW 7 Series. Driving luxury. Unveiling June 10th.
La sixième génération de BMW Série 7 est présenté le 10 juin 2015.
The all-new BMW 7 Series. Creating the future of luxury.
With BMW M, BMW created the most powerful letter in the world. With BMW i, BMW showed the future of mobility and sustainability. Now, with the all-new BMW 7 Series, BMW presents the future of luxury. The all-new BMW 7 Series. Driving Luxury.
« Avec la nouvelle BMW Série 7, BMW redéfinit l’interprétation moderne et avant-gardiste d’une expérience de conduite exclusive et luxueuse. Des technologies porteuses d’avenir dans les domaines de la construction légère, des groupes motopropulseurs, des liaisons au sol, de la commande, de l’ergonomie et de l’ambiance à bord reflètent l’ambition de créer une berline de luxe associant le summum du plaisir de conduire et du confort de voyage. BMW présente, avec le changement générationnel de son vaisseau amiral, de nombreuses innovations uniques dans l’environnement concurrentiel. » – BMW
Le design de la BMW 7-series G11
BMW 7 series – 2016 – sketch – profil avant / front
BMW 7 series – 2016 – sketch – profil arrière / rear
« Chez BMW, nous sommes convaincus que l’avenir est plus facile à prévoir si nous contribuons à le façonner. Le premier objectif lors du développement de la nouvelle automobile a été de créer un luxe moderne et de dépasser les attentes de nos clients. Le luxe moderne, pour BMW, repose sur les technologies les plus avancées qui soient et sur l’attention prêtée aux détails. Cette génération de la BMW Série 7 est la voiture la plus luxueuse, la plus confortable, bref, la meilleure voiture que nous n’ayons jamais construite dans cette catégorie automobile. » - Adrian van Hooydonk, styliste en chef de BMW Group Design
BMW 7 series – 2016 – structure
La structure de la carrosserie à Carbon Core repose sur un transfert de technologies issues du développement des automobiles BMW i. La nouvelle BMW Série 7 est la première voiture de son segment à marier le PRFC issu d’une fabrication industrielle à l’acier et à l’aluminium. Grâce à cette conception mixte, le concept intelligent de la carrosserie peut se vanter d’un gain de résistance et de rigidité de l’habitacle doublé d’un allégement très sensible.
BMW 7 series – 2016 – avant / front
BMW 7 series – 2016 – arrière / rear
Le moteur de la BMW 7-series G11
Parmi les moteurs proposés pour la nouvelle BMW Série 7 figurent un V8 revu de fond en comble ainsi que des six cylindres en ligne de la toute dernière génération de BMW Group. Tous les moteurs sont accouplés, de série, à une Boîte de vitesses automatique à huit rapports.
BMW 7 series – 2016 – moteur / engine
Ttrois versions : 730d, avec 265 ch via le 3.0 diesel, 740i, via le six cylindres 3.0 essence de 326 ch, 750i via le V8 4.4 biturbo de 450 ch. La 740e, dispose d’un quatre cylindres essence accouplé à un moteur électrique pour une puissance combinée de 326 ch, une autonomie électrique de 40 km.
iDrive : le Central Intelligence Agency de BMW
Le système iDrive est enrichi de la Commande gestuelle BMW présentée en première. Elle permet de gérer certaines fonctions d’infodivertissement de manière absolument intuitive et conviviale, par des mouvements de la main détectés par un capteur 3D. Les gestes de commande respectifs permettent, entre autres, de régler le volume sonore du programme audio et de prendre ou de refuser des appels téléphoniques entrants. Le client peut aussi attribuer un geste défini à une fonction de son choix. Autre nouveauté : le support pour smartphones intégré dans la console centrale qui inaugure la recharge du téléphone mobile par induction et, donc, sans fil, à bord de la voiture.
Bien que, BMW n’a jamais proposé de M7. La nouvelle BMW Série 7 2015 est livrable en finition M Sport. Il s’agit d’un pack esthétique constitué d’un kit carrosserie complet.
BMW 7 series – 2016 – Pack M
BMW 7 series – 2016 – Pack M – profil / side-face
Clé USB de contact : une clé n’a jamais aussi bien porté son nom
Avant de commencer la présentation, comme il se doit de la BMW Serie 7, regardons un objet que l’on prêt peu d’importance quand on présente une auto et pourtant, ô combien cet objet est utile. En effet, et je ne vous l’apprends, la clé démarre le moteur du véhicule.
BMW 7 series – 2016 – clé de contact / ignition key
BMW propose la clé dénommée ‘BMW Display key’, créée pour la BMW i8, la supercar électrique, pour la nouvelle BMW Serie 7.
Cette ‘BMW Display key’ possède les fonctions classiques de verrouillage et déverrouillage et dispose d’un écran LCD de 2,2 pouces (5,6 cm) sur lequel on peut vérifier l’état de la jauge à essence ou encore que les vitres ou le toit ouvrant sont bien fermés. Sinon, le conducteur pourra les actionner à distance. Cette clé se recharge via un port microUSB ou dans un logement dédié situé dans l’habitacle.
L’option Stationnement autonome télécommandé permet ainsi de profiter confortablement d’emplacements étroits. Le conducteur lance les manœuvres pour garer la voiture et la sortir de son emplacement à l’aide de la Clé intelligente «BMW Display Key», elle aussi, de conception nouvelle, puis la voiture reprend pour exécuter les manœuvres de manière partiellement automatique.
Projecteurs Laser BMW : 600 mètres
BMW 7 series – 2016 – sketch – laser light
Les projecteurs Laser BMW, connue de la BMW i8 et anti-éblouissants grâce à la fonction BMW Selective Beam, sont une autre nouveauté dans le segment des berlines de luxe. Sur la nouvelle BMW Série 7, ils sont proposés en alternative aux projecteurs Full LEDs de série. Les projecteurs Laser BMW produisent une lumière particulièrement blanche et claire. Ils doublent la portée du faisceau par rapport aux phares à LEDs si bien que les feux de route portent sur 600 mètres.
BMW i8 in detail. Laser light.
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The all-new BMW 7 Series. All you need to know.
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Usine BMW de Dingolfing
BMW 7 series – 2016 – usine / plant
À l’instar de toutes ses devancières, la nouvelle BMW Série 7 est construite à l’Usine BMW de Dingolfing. Sur ce site, une longue expérience dans la construction de limousines s’allie à un savoir-faire inégalé au monde dans le domaine de la construction légère. L’Usine BMW de Dingolfing est le pôle de compétence aluminium du réseau de production mondial de BMW Group et désormais la première usine automobile au monde à intégrer le PRFC dans une architecture hybride de la caisse en blanc*.
caisse en blanc
Une caisse en blanc, ou CEB, se réfère à l’étape d’élaboration ou de fabrication automobile dans laquelle l’ensemble des tôles (sans les ouvrants et le pont) constituant la structure ont été, après l’emboutissage, assemblées par soudage en chaîne ferrage, avant que les composants (châssis, moteur) ou les équipements (vitrages, sièges, garnissage, électricité, etc.) n’aient été ajoutés.
L’étymologie du terme « caisse en blanc » renvoie au début de l’industrie automobile, lorsque la caisse des véhicules recevait une couche d’apprêt blanc.
English summary
2016 BMW 7-series: Munich’s new part-carbon limo unveiled
You’re looking at the new 2016 BMW 7-series – the pinnacle of the BMW saloon range. As with arch-rival Mercedes’ S-class, a new Seven arrives once a decade or so and aims to move the luxury goalposts so far that rushed execs have to sit up and take notice. Has Munich succeeded again? Read on the new G11 (regular wheelbase) and G12 (XL stretch) 7-series. There’s plenty of technical change under the evolutionary skin. Highlights of the new saloon include:
-Part composite construction
-Plug-in hybrid model badged 740e
-Four-wheel drive option
-Laser lighting option
-Panoramic glass roof
-Updated iDrive with gesture control
-App for remote parking from your phone
-BMW 7-series in side profile
The lightweight bit
We all know the virtuous circle of dieting. Lighter cars gobble less fuel, go, steer and stop faster, and need smaller, lighter components to do so. Everyone’s a winner with lighter vehicles. So BMW has applied some of the learnings from Project i, and transferred some of the carbonfibre know-how from models such as the i3 and i8 to the new 7-series.
It’s a multi-matrix approach, whereby composite materials are used alongside aluminium and steel to shave up to 130kg off the kerbweight. Different materials are applied in different areas to trim bulk where there’s maximum benefit, but stick with high-strength steels where torsional rigidity is a priority.
It’s impressive for a car that’s a touch longer and taller than before (width remains unchanged). The SWB 7-series is now 5098mm long.
A multi-matrix structure blends aluminium, steel and CFRP
BMW claims it’s the first luxury car in this segment to apply this multi-material mix (though we know 2016’s Audi A8 rival will follow suit).
Straight sixes, V8s and a hybrid
A range of updated six- and eight-cylinder engines are available, all mated to the eight-speed Steptronic transmission. Munich’s xDrive all-wheel drive system will be available on certain models, as well, depending on market.
The 740e plug-in hybrid model uses a four-cylinder petrol engine and electric motor to produce a combined 322bhp. Result? A claimed 135mpg average, CO2 emissions of just 49g/km and a pure-EV silent range of 25 miles.
730d 3.0-litre straight six turbo, 261bhp and 457lb ft, 5.8sec 0-62mph, 155mph, 62.8mpg.
740i 3.0-litre straight six turbo, 321bhp/332lb ft, 5.5sec 0-62mph, 155mph, 42.8mpg.
750i 4.4-litre V8 twin-turbo, 444bhp/479lb ft, 4.4sec 0-62mph, 155mph, 34.9mpg.
Inside the new 7-series cabin
There’s almost as much technical change in the cabin as there is under the skin. iDrive has been heavily overhauled, and you can expect to see many of the tricks unveiled here to trickle across the rest of the BMW range in the months and years ahead.
BMW 7 series – 2016 – sketch design interior
BMW 7 series – 2016 – sketch – intérieur / interior
BMW 7 series – 2016 – intérieur / interior
Gesture control on first touch-sensitive iDrive controller.
This is the first time the iDrive monitor has been touch-sensitive – and it closely follows the iPad generation norm. So you can swipe, pinch and touch your way around the menus.
A key change is gesture recognition. So you can adjust the volume or reject a phonecall merely by gesturing at the system; a 3D sensor can read your hand signal and interpret it accordingly. You can follow pre-set gestures, or select different hand movements.
There’s more: inductive, wireless charging for phones; massaging and ventilating seats for all four passengers; rear seats with Vitality Programme which give you work-out while sitting down (are you sitting down? We do hope so); and the rear pews can extend so far forward that you’re nearly in airline style bed mode. Perfect for playing with the 7in removable tablet built into the rear passenger compartment.
Long-wheelbase Sevens can be specced with a Sky Lounge Panorama glass roof, designed to reflect LED lighting bars throughout the interior to give the impression of a starry sky at night. A touch nabbed from sister brand Rolls-Royce, perchance?
The all-new BMW 7 Series. Official launch film.
The all-new BMW 7 Series. Driving Luxury. This is the official launch film of the all-new BMW 7 Series including driving scenes.
Source et images :
BMW
… et synthèses des pages Wikipedia :
BMW Serie 7
Paul Bracq
Chris Bangle
Adrian van Hooydonk
… and summary of post via carmagazine.co.uk, BMW 7-series (2015) in pictures: Munich’s new part-carbon limo unveiled (EN)
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Ewen LJ
05/11/2015 à 21:16
Bonsoir
je trouve la BMW 7 une voiture de la belle vie et je reve d’avoir une pour me rende ma vie heureuse