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Crisis News. Volkswagen, le 1er constructeur mondial, depuis le premier semestre 2015, venant de passer devant Toyota. Volkswagen AG, fleuron de l’industrie allemande aux liens étroits avec la politique – un Etat régional allemand est actionnaire à son capital -, à la veille d’une certaine Cop21 (Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Paris – du 30 novembre au 11 décembre 2015), une intransigeance de l’EPA (Environmental Protection Agency) qui s’inscrit dans l’offensive de l’administration Obama dans la lutte contre le réchauffement climatique, après des querelles interne du Volkswagen Group avec Ferdinand Piëch (patriarche et actionnaire de Volkswagen), …
Avril 2015. Après deux semaines de guerre interne, Ferdinand Piëch, le président du conseil de surveillance démissionne. Le président du directoire Martin Winterkorn remporte la partie. Ferdinand Piëch indiquait « prendre de la distance » avec la stratégie du président du directoire. Avec ces déclarations, le « patriarche » du groupe de Wolfsburg entendait mettre en cause le maintien de Martin Winterkorn à la tête du groupe. Il semble que Ferdinand Piëch n’ait pu obtenir dans cette entreprise, le soutien des actionnaires de VW, notamment Porsche et l’Etat de Basse-Saxe. Dans une réunion du Présidium du conseil de surveillance vendredi dernier à Salzbourg, Ferdinand Piëch s’est retrouvé en minorité par 5 voix contre une selon l’agence DPA. Martin Winterkorn avait été renforcé par cette réunion. Selon la presse allemande, Ferdinand Piëch aurait cherché à contourner cette décision la semaine dernière. En vain. Il a donc démissionné.
…en plein salon de Francfort, au moment où VAG vient de devenir premier constructeur mondial et pour Martin Winkertorn (actuel président du Directoire du Volkswagen Group depuis 2007), qui doit voir son mandat être renouvelé le 25 septembre.
Septembre 2015. Volkswagen avoue ,haben wir verkorkst’ avec le moteur à 4 cylindres TDI EURO 5 du type EA 189
Selon le groupe, plus de 11 millions de véhicules de ses différentes marques ont été équipés de ce système à travers le monde. L’affaire est révélée en septembre 2015 par l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA), un an après que l’université de Virginie-Occidentale ait échoué à reproduire en conditions de circulation réelle les émissions avancées par le groupe Volkswagen.
L’EPA reproche au groupe Volkswagen d’avoir équipé plusieurs modèles de ses marques de logiciel permettant de passer les tests d’émission de certains polluants atmosphériques. En pratique, le logiciel utilisé détecte les différentes phases des cycles propres aux contrôles réglementaires afin d’activer la fonction réduisant la pollution de la voiture au seuil réglementaire.
Volkswagen’s US boss: We totally screwed up
New York, N.Y. – Volkswagen unveiled the new 2016 Passat at an event. Michael Horn, chief executive of the Volkswagen Group of America, used the launch of the 2015 Passat to issue an abject apology, after the German automaker was caught cheating on U.S. emissions tests.
« Our company was dishonest, with the EPA and the California Air Resources board, and with all of you and in my German words, we have totally screwed up, » Horn told the audience at the lavish launch event in Brooklyn, New York.
« We have to make things right, with the government, the public, our customers, our employees and also very important, our dealers, » Horn added, saying that the company’s actions were not consistent with its core values.
« Along with our German headquarters we are committed to do what must be done, and to begin to restore your trust,
- Michael Horn, chief executive of the Volkswagen Group of America
Michael Horn, qui a pris la parole lors du lancement de la nouvelle Passat 2015, this Monday, à New York, a encore dit que Volkswagen était « très décidé » à se servir de ce scandale pour apprendre et progresser, soulignant que l’avenir de l’entreprise dépendait de sa capacité de réaction : « Vous pouvez être sûrs que nous allons continuer, non seulement à corriger ce problème sur les moteurs TDI et à remettre les choses en ordre, et nous allons payer ce que nous devons. Mais nous allons continuer à travailler très dur pour faire en sorte que notre histoire ici aux États-Unis soit un succès, pour les clients, nos concessionnaires et nos employés »
Comment une ONG des États-Unis a découvert la supercherie
Au départ de l’affaire Volkswagen, une ONG américaine voulait prouver… l’intérêt du diesel dans la lutte antipollution. Avant de s’apercevoir de la supercherie.
« Notre hypothèse était que toutes ces voitures sortiraient propres. » Drew Kodjak, le directeur éxecutif de l’International Council for Clean Transportation (ICCT), ne se doutait pas que son équipe serait à l’origine d’un tel scandale . Il y a deux ans, ce groupe de recherche indépendant a engagé des chercheurs de l’université de Virginie-Occidentale pour tester des voitures à moteur diesel. L’ONG pensait alors conclure que les voitures diesel vendues aux Etats-Unis étaient moins polluantes que les autres parce que les normes étaient plus dures.
Mais, rapidement, les tests donnent des résultats étonnants. En mettant sur le ban d’essai une Volkswagen Jetta 2012 et une VW Passat 2013, les chercheurs trouvent un résultat opposé à leurs attentes : les niveaux d’émissions d’oxyde d’azote (Nox) sont bien plus élevés que ce qui est autorisé par la loi, tandis qu’un troisième véhicule testé, une BMW X5, était en général à l’intérieur des limites admises. Une surprise d’autant plus grande que Volkswagen diffusait depuis plusieurs années des publicités aux Etats-Unis pour vanter ses « diesel propres » – publicités qui ont continué à être diffusées jusqu’en novembre 2014, alors même que le groupe était déjà au courant de la controverse sur ses émissions.
L’équipe de recherche alerte alors l’Agence de protection de l’environnement (EPA) et le California Air Ressources Board (Carb). Ce dernier ouvre alors « une enquête et des discussions » avec Volkswagen en 2014 : le constructeur lance de nouveaux tests pour vérifier l’étude de l’ICCT. Et propose un patch logiciel de réparation au Carb. Pour le groupe allemand, les émission excédentaires sont dûes à « divers problèmes techniques » et à des conditions « inattendues » en situation réelle. Il décide, en décembre, de rappeler toutes ses voitures diesel aux Etats-Unis produites entre 2009 et 2014.
Sauf que le Carb, en coopération avec l’EPA, annonce vouloir faire des tests de confirmation et lance donc une nouvelle étude en mai 2015. Les résultats montrent des émissions encore supérieures aux limites acceptées par la loi américaine. La Californie prévient les autorités fédérales chargées de la réglementation.
Ce n’est que quand l’EPA et le Carb ont menacé de retirer leur certification aux modèles diesel 2016 du constructeur allemand que celui-ci a révisé son explication, début septembre. « Seulement alors, VW a reconnu avoir conçu et installé un dispositif de mise en échec sur ces véhicules sous la forme d’un algorithme logiciel sophistiqué qui détectait quand un véhicule passait des tests sur ses émissions », a déclaré l’EPA dans son avis d’infraction adressé à Volkswagen vendredi 18 septembre 2015.
11 millions de moteurs sont concernés : 4 cylindres TDI EURO 5 du type EA 189
Pour atteindre la première marche du podium mondial, le constructeur allemand se savait condamné à augmenter sensiblement ses ventes en Amérique du Nord où son poids reste négligeable. Une usine fut érigée au Tennessee pour y produire une Passat moins sophistiquée et moins chère que la version européenne. Et les efforts de communication furent concentrés sur la sobriété naturelle du moteur 4-cylindres Diesel TDI. Pourquoi ? Pour la même raison que le Japonais Lexus choisit de mettre en avant ses hybrides en Europe : pour mieux se distinguer de la concurrence. Volkswagen of America évite ainsi toute confrontation directe avec les géants Chevrolet, Ford, Toyota, Honda et Nissan.
Ce logiciel commande des moteurs diesel quatre cylindres équipant plusieurs modèles des marques du groupe. Plus de 11 millions de moteurs sont concernés à travers le monde. Le dispositif est présent sur tous les véhicules du groupe (VW, Audi, Skoda, Seat) dotés d’un moteur diesel de type EA189.
Un seul type de moteur diesel et uniquement diesel est concerné : le moteur à 4 cylindres TDI EURO 5 du type EA 189.
Les moteurs V6 ou V8 diesel ne sont pas concernés.
Le constructeur Volkswagen a avoué que 11 millions de ses voitures dans le monde étaient équipées du logiciel de trucage découvert aux Etats-Unis. Le dispositif est présent sur tous les véhicules du groupe (VW, Audi, Skoda, Seat) dotés d’un moteur diesel de type EA189.
C’est lors de l’un de ces tests que l’astuce frauduleuse de Volkswagen a été détectée. Pour rappel, un algorithme enfoui dans les centaines de milliers de lignes de code que contient le cerveau électronique qui gère le moteur Diesel 2 litres TDI est chargé de détecter l’amorce d’un cycle de tests normalisés. Puis de contraindre le moteur à fonctionner selon des paramètres qui sacrifient sa puissance au profit d’une réduction du niveau de ses émissions polluantes.
Les motorisations plus récentes TDI EURO 6 équipant aussi certains de ces modèles ne sont pas concernés.
En 2009, les États-Unis renforçaient leurs normes de pollution. S’il souhaitait continuer à vendre ses 4-cylindres TDI (essentiel à sa stratégie de croissante, rappelons-le), Volkswagen aurait été contraint d’y greffer de coûteux systèmes de dépollution (filtre à particules à additif et piège à NOx). Si le surcoût de tels systèmes est tolérable sur un gros SUV de type Mercedes-Benz, il devient prohibitif sur une humble VW Jetta vendue au juste prix. Ce n’est donc pas un hasard si c’est à partir de 2009 que les dirigeants de Volkswagen ont pris — peut être — le risque — calculé — d’ajouter leur algorithme espion.
En France comme en Europe, les instances officielles ne pratiquent pas de tests sur les véhicules déjà en circulation. Par conséquent, les voitures Diesel du Groupe Volkswagen n’ont pas besoin d’emporter le fameux algorithme secret pour se prémunir contre des tests qui n’auront pas lieu.
Didier Laurent, consultant pour le Groupe l’Argus explique, « En France, c’est l’Union technique de l’Automobile, du Motocycle et du Cycle (UTAC) qui est chargée de soumettre chaque nouveau type de véhicule aux tests normalisés du protocole européen NEDC (New European Driving Cycle) », nous rappelle-t-il. « Le test d’homologation se fait dans un laboratoire. Certains constructeurs ont donc doté l’ordinateur de bord (ou ECU, pour Engine Control Unit) de la capacité de reconnaître l’amorce du test et de commander le passage du moteur en mode de fonctionnement dit ECO, pour écologique. » Comme l’algorithme honni des Volkswagen et Audi incriminées ? Pas tout à fait. « Passer automatiquement en mode ECO ne relève pas vraiment de la tromperie puisque ce mode est accessible au conducteur d’une simple pression sur un bouton. En revanche, Volkswagen a prévu sur le TDI incriminé un mode secret plus ascétique encore qui va au-delà du simple mode ECO présent sur ses voitures. » Cette distinction suffirait à tracer la frontière entre ce qui relève d’une exploitation intelligente des failles du règlement et d’une tromperie pure et simple.
Amende record ?
Le département de la Justice des États-Unis décide en septembre 2015 d’ouvrir une enquête à l’encontre du constructeur allemand. Selon les autorités américaines, 482 000 véhicules de marque Volkswagen et Audi, construits entre 2009 et 2015 et vendus aux États-Unis, ont été équipés du logiciel de fraude.
Pour avoir violé la loi sur l’air propre (Clean Air Act), Volkswagen encourt une pénalité maximum de 18 milliards de dollars (37 500 dollars par voiture), soit 15,8 milliards d’euros.
En novembre 2014, l’EPA avait sanctionné les sud-coréens Hyundai et Kia d’une amende de 100 millions de dollars pour avoir sous-estimé les consommations de carburant de leurs véhicules.
Pour l’instant, les autorités américaines poursuivent leur enquête en collaboration avec Volkswagen et l’amende n’est pas encore confirmée. Mais l’affaire tombe mal pour Volkswagen, déjà affecté par des querelles internes depuis plusieurs mois (Affaire Ferdinand Piëch). Le sujet sera ainsi évoqué par les 20 membres du conseil de surveillance du groupe vendredi et pourrait conduire au départ du président du directoire, Martin Winterkorn, qui dirigeait la marque VW de 2007 à 2015, période qui couvre les six années visées par les enquêtes américaines.
D’autres fronts pourraient s’ouvrir pour le constructeur. Le Clean Air Act américain prévoit ainsi des peines de prison pour les responsables de fausses déclarations et de trucage des mesures de contrôles… D’ailleurs selon la presse américaine une enquête pénale a été ouverte par la justice américaine . Et une « class action » a été déposée par un cabinet d’avocat auprès la Cour fédérale de San Francisco. Les plaignants craignent pour la valeur à l’argus de leurs véhicules estampillés VW.
Si l’amende est finalement appliquée, son montant représenterait donc 18 milliards de dollars (16 milliards d’euros), soit 9 % du chiffre d’affaires annuel du groupe en 2014 ! Quant à la chute du titre VW en Bourse ce lundi, elle équivaut à une perte de près de 17 milliards d’euros de capitalisation, soit davantage que la capitalisation totale d’un groupe comme Peugeot… A terme, VW devra aussi faire face d’autres coûts : rappels des véhicules, arrêt des ventes aux Etats-Unis, possibles poursuites judiciaires des propriétaires de véhicules, impact sur les ventes futures, etc.
Le constructeur a aussi cessé la commercialisation de tous ses modèles diesel aux Etats-Unis, sans oublier les conséquences sur les ventes futures des autres modèles.
EPA
Cette intransigeance de l’EPA s’inscrit dans l’offensive de l’administration Obama dans la lutte contre le réchauffement climatique. De nouveaux objectifs de lutte contre les émissions ont été fixés pendant l’été, visant notamment les centrales au charbon, mais aussi la pollution automobile. Clairement, cette enquête sonne comme un avertissement pour les autres constructeurs qui pourraient être tentés de contourner la loi.
Crise pour l’industrie automobile
En Allemagne, les salariés font part de leur colère et sont inquiets pour leur emploi.
Volkswagen ne tolère aucune forme de violation des lois que ce soit. La priorité du Conseil d’administration est de regagner la confiance perdue et d’éviter des dommages à leurs clients. Le Groupe Volkswagen informera de manière transparent le public via les médias sur la poursuite des enquêtes en cours.
Tout le secteur automobile s’est effondré en Bourse au lendemain de la révélation des tricheries commises par Volkswagen lors de contrôles antipollution aux Etats-Unis. Berlin et Paris demandent des comptes à leurs constructeurs respectifs. Le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) s’est d’ailleurs déclaré favorable à de nouveaux contrôles dans un communiqué. Alors que Volkswagen est accusé d’avoir contourné les réglementations sur les émissions de gaz polluants aux Etats-Unis, le Ministre allemand des Transports a ordonné au KBA (Office fédéral des transports) de réaliser « des tests approfondis » sur l’ensemble des modèles diesel du constructeur en Allemagne également.
Du 19 au 22 septembre 2015. L’action du groupe chute de plus de 17 % en clôture de la bourse de Francfort le jour de l’annonce de la fraude, entrainant derrière elle la chute du secteur automobile européen. Trois jours plus tard, l’action perdait près d’un tiers de sa valeur, au 22 septembre.
A la Bourse de Paris, PSA et Renault a chuté de près de 8 %.
Volkswagen AG has issued the following information
Volkswagen is working at full speed to clarify irregularities concerning a particular software used in diesel engines. New vehicles from the Volkswagen Group with EU 6 diesel engines currently available in the European Union comply with legal requirements and environmental standards. The software in question does not affect handling, consumption or emissions. This gives clarity to customers and dealers.
Further internal investigations conducted to date have established that the relevant engine management software is also installed in other Volkswagen Group vehicles with diesel engines. For the majority of these engines the software does not have any effect.
Discrepancies relate to vehicles with Type EA 189 engines, involving some eleven million vehicles worldwide. A noticeable deviation between bench test results and actual road use was established solely for this type of engine. Volkswagen is working intensely to eliminate these deviations through technical measures. The company is therefore in contact with the relevant authorities and the German Federal Motor Transport Authority (KBA – Kraftfahrtbundesamt).
To cover the necessary service measures and other efforts to win back the trust of our customers, Volkswagen plans to set aside a provision of some 6.5 billion EUR recognized in the profit and loss statement in the third quarter of the current fiscal year. Due to the ongoing investigations the amounts estimated may be subject to revaluation. Earnings targets for the Group for 2015 will be adjusted accordingly.
Volkswagen does not tolerate any kind of violation of laws whatsoever. It is and remains the top priority of the Board of Management to win back lost trust and to avert damage to our customers. The Group will inform the public on the further progress of the investigations constantly and transparently.
Video statement of the CEO of Volkswagen AG
“The irregularities that have been found in our Group’s diesel engines go against everything Volkswagen stands for. At present we do not yet have all the answers to all the questions. But we are working hard to find out exactly what happened. To do that, we are putting everything on the table, as quickly, thoroughly and transparently as possible. And we continue to cooperate closely with the relevant government organizations and authorities. This quick and full clarification has the highest priority. We owe that to our customers, our employees and the public. Manipulation and Volkswagen – that must never be allowed to happen again.
Millions of people all over the world trust our brands, our cars and our technologies. I am deeply sorry that we have broken this trust. I would like to make a formal apology to our customers, to the authorities and to the general public for this misconduct. We will do everything necessary to reverse the damage. And we will do everything necessary to win back trust – step by step.
In our Group, more than 600,000 people work to build the best cars for our customers.
I would like to say to our employees: I know just how much dedication, how much true sincerity you bring to your work day after day. Therefore, it would be wrong to cast general suspicion on the honest, hard work of 600,000 people because of the mistakes made by only a few. Our team simply does not deserve that.
That is why we are asking for trust as we move forward: We will get to the bottom of this. We are working very hard on the necessary technical solutions. And we will do everything we can to avert damage to our customers and employees. I give you my word: we will do all of this with the greatest possible openness and transparency.”
- Prof. Dr. Martin Winterkorn, CEO of Volkswagen AG
Une sortie de route dangereuse pour Volkswagen ? – Décodeurs de l’Eco
Revoir l’émission ==> Une sortie de route dangereuse pour Volkswagen ? – 21/09/2015 – Décodeurs de l’Eco, BFM Business
MAJ 03/10/2015 :
« Ne tirez plus sur Volkswagen ! »
Il s’est passé beaucoup de chose depuis que j’ai publié cet article synthèse sur l’affaire VW et ces moteurs diesel… bref, on ne va pas redire chaque faits d’actualité. Mais je tiens à ajouter un paragraphe qui présente l’Edito le + smart que j’ai lu parmi les nombreux articles publiés !
Ne tirez plus sur Volkswagen !, via Auto-Infos.fr
Extraits :
« Tout ce bruit médiatique à l’encontre de Volkswagen est complètement déraisonnable et dangereux pour l’ensemble de la filière automobile et le PIB de nombreux pays européens dont la France et l’Allemagne en première ligne. Je pense aussi aux réseaux de distribution mais également aux entreprises qui possèdent des flottes automobiles et dont la chute de la valeur résiduelle d’un véhicule pourrait poser de nombreux problèmes économiques dans les trois années à venir. »
…
Franchement, ce « Volkswagen bashing » doit cesser afin que l’industrie automobile sorte rapidement par le haut de cette triste histoire.
Allez lire l’article Ne tirez plus sur Volkswagen !, sur Auto-Infos.fr
Source et images :
Volkswagen AG.
EPA.gov
Source texte via latribune.fr , lesechos.fr , capital.fr, challenges.fr,
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/volkswagen-ferdinand-piech-demissionne-471913.html
http://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/021341340481-volkswagen-les-questions-autour-de-laffaire-du-logiciel-espion-1157654.php
http://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/021344585930-affaire-volkswagen-comment-une-ong-a-decouvert-le-pot-aux-roses-1157955.php
http://www.capital.fr/bourse/actualites/apres-l-affaire-volkswagen-tous-les-constructeurs-sont-suspectes-1071581
http://automobile.challenges.fr/dossiers/20150922.LQA7585/pourquoi-volkswagen-est-epingle-aux-usa-pas-en-europe.html
Source text and quotes via cnbc.com
http://www.cnbc.com/2015/09/21/volkswagen-us-ceo-screwed-up-on-eca-emissions-diesel-test-rigging.html
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