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‘What if we could push racecars to the new levels of performance without endangering lives?’ Pour le savoir, NVIDIA annonce et présente ‘PX DRIVE 2′ superordinateur IA sous le capot des voitures qui seront en compétition dans le championnat Roborace, la première autonome compétition mondiale du sport automobile. La Roborace, qui mêle technologie, jeu vidéo et technologie, promet à coup sûr d’ouvrir une nouvelle ère du sport automobile. NVIDIA est présent, tout comme NVIDIA est présent déjà dans la caisse des automobiles récentes via NVIDIA Drive ! Qui aurait imaginé qu’une course de « voitures téléguidées », powered by NVIDIA, allait voir le jour très bientôt ?
NVIDIA to Power Robotic Motor Sports Competition
GPU Technology Conference 2016 #GTC16
GTC 2016, set for April 4-7 in Silicon Valley, Jen-Hsun Huang, CEO de NVIDIA a annoncé ce mardi 5 avril lors de la ‘GPU Technology Conference’, (pour Graphics Processing Unit Technology Conference) ces nouveautés.
The #GTC16 opening keynote is a wrap. Get a recap of it on #VR, #AI, & self-driving cars: https://t.co/FgkCqSIuZS pic.twitter.com/wiQ4Fc6Rl9
— NVIDIA (@nvidia) 5 avril 2016
Roborace ?
En décembre 2015, la FIA (la Fédération internationale automobile) s’est en effet associé avec l’entreprise Kinetik afin de proposer le premier championnat de monoplaces électriques 100% autonomes.
Selon Alejandro Agag, le promoteur de la Formule E, Roborace est « un défi aux sociétés les plus innovantes du monde, en matière de science et de technologie. C’est très excitant de créer une plateforme qui va leur permettre de montrer ce qu’elles sont capables de faire ».
Autre test, financier cette fois, une des équipes engagées fonctionnera sur le principe du crowdsourcing, le financement participatif, une première dans le domaine du sport automobile.
Si les enjeux technologiques et financiers sautent aux yeux, l’attrait sportif est plus discuté. Sur les réseaux sociaux, les réactions sont mitigées. « Est-ce une plaisanterie ? » demandent les plus dubitatifs, « un gag ? » Les organisateurs du nouveau championnat espèrent, quant à eux, attirer un nouveau public vers la compétition automobile, offrir une vitrine aux constructeurs automobiles, et penser la mobilité du futur. Selon Denis Sverdlov, fondateur de Kinetik et inventeur du concept Roborace, « tous les véhicules du monde, à l’avenir, seront à la fois électriques et autonomes, ce qui permettra de respecter l’environnement et d’améliorer la sécurité routière. » La sécurité étant le cheval de bataille de Jean Todt, patron de la FIA, les deux hommes ne pouvaient que s’entendre. Citations & extraits via Roborace, la Formule E sans pilote, arrive en 2016, lemonde.fr
Design de Robocar 2016
Il y a quelques jours, les organiseurs de Roborace ont présenté les premières images de son concept, très futuriste.
Le véhicule, la Robocar, a été conçu par Daniel Simon, qui a notamment été à l’origine des voitures du film de science-fiction Tron : Legacy. Du côté du sport automobile, on lui doit la livrée de la monoplace 2011 de l’écurie de F1 HRT. Le designer a souhaité « trouver le juste équilibre entre l’opportunité inhabituelle de ne pas avoir de pilote et l’esthétique de la monoplace ».
Roborace video
Introducing The Robocar — the world’s first driverless electric racing car. Designed by Daniel Simon, Chief Design Officer — Roborace, re-known for his work on Tron:Legacy.
Moteur de Robocar 2016
Les voitures seront gérées à distance par des algorithmes programmés au préalable par des ingénieurs et développeurs. Ce championnat a vocation à débuter l’année prochaine et chaque manche aura lieu en marge de la FormulaE, le premier championnat de véhicules électriques.
La Roborace devrait en effet bénéficier des mêmes circuits urbains, la première manche étant prévue pour l’automne 2016. Comme en FormulaE également, chaque manche de Roborace mettra en compétition 10 équipes de deux voitures sans pilote durant une heure de course. Les voitures électriques, identiques, auront des technologies différentes en matière d’autonomie, et une programmation informatique en temps réel.
Les supercalculateurs Drive PX2 fournis par le groupe NVIDIA, qui les a annoncés lors du salon CES 2016 de Las Vegas en janvier 2016. Avec sa capacité à traiter 24 000 milliards d’opérations par seconde pour des applications d’intelligence artificielle, le Drive PX2, avec ses 12 coeurs gravés en 16 nm FinFET, est spécifiquement conçu pour répondre aux besoins des véhicules autonomes.
Drive PX2 prend la suite du Drive PX annoncé en 2015 et qui apportait déjà des possibilités de conduite semi-autonome et d’assistance à la conduite.
Meet the world's first autonomous race car, coming to @roboracing. #GTC16 pic.twitter.com/I7DB8KpNEi
— NVIDIA (@nvidia) 5 avril 2016
Comment les robocars vont-elles faire la course ?
Pour la première saison, dix équipes de deux bolides s’affronteront au cours de courses d’une heure. Les équipes disposeront d’une voiture identique : il ne leur sera pas possible de modifier l’aspect de la voiture, mais elles pourront influer sur la partie « logiciel ».
Le directeur de Roborace, Denis Sverdlov, a expliqué qu’il ne souhaitait pas seulement nouer des partenariats avec des constructeurs automobiles. « Nous pouvons étendre nos recherches à d’autres industries. L’intérêt réside notamment du côté des compagnies technologiques » (via Motorsport.com)
Tous les acteurs du sport automobile et de la FormulaE en particulier se sont montrés curieux de cette initiative.
Croisé dans un paddock à la fin de l’année, un ingénieur du team DS-Virgin confiait son enthousiasme : « le plus dur, ce ne sera pas de programmer les voitures à être performantes sur le circuit, mais à interagir entre elles. » En effet, comment les monoplaces vont-elles s’adapter à la « concurrence », comment vont-elles réussir à se dépasser, à trouver la trajectoire idéale pour se faufiler dans le peloton ? (via LePoint)
Les course du championnat Roborace ?
Chaque Roborace opposera 10 teams, chacune avec deux voitures, sans pilotes, équipées de NVIDIA DRIVE PX 2, les uns contre les autres dans les courses d’une heure. Les équipes auront des voitures identiques. Leur seul avantage concurrentiel : logiciel. C’est vraiment un concours pour construire l’esprit artificiel le plus avancé.
La quantité d’informations transmise dans chacune de ces voitures de course à haute vitesse autonomes – et la nécessité de prendre des décisions rapides – est incroyablement exigeant. Voilà pourquoi Kinetik, l’entreprise d’investissement basée à Londres, derrière Roborace, a approché NVIDIA.
‘The Way It’s Meant to be racing Played’
The amount of information pouring into each of these autonomous high-speed racecars — and the need to make quick decisions — is incredibly demanding. That’s why Kinetik, the London-based investment firm behind Roborace, approached NVIDIA.
DRIVE PX 2 provides supercomputer-class performance — up to 24 trillion operations a second for AI applications — in a case the size of a lunchbox. And such a small box is exactly what these racecars need.
Since the cars don’t need human drivers, these racecars are incredibly compact, and the designs — conceived by auto designer Daniel Simon, the man behind Tron: Legacy’s light cycles — are like nothing that’s been seen on a road, or a racetrack, before. There’s no room in these racers for the trunk full of PCs that powered earlier generations of autonomous vehicles.
What Should We Name Our Car? If NVIDIA were to have an autonomous racecar, what would we call it? We’ve considered “Deep Green” — a reference to deep learning and energy-efficient AI computing — but we’re looking for more suggestions.
Continuing our efforts to help build autonomous vehicles with super-human levels of perception, we also introduced an end-to-end mapping platforms for self-driving cars.
It’s designed to help automakers, map companies and startups rapidly create HD maps and keep them updated, using the compute power of NVIDIA DRIVE PX 2 in the car and NVIDIA Tesla GPUs in the data center.
Maps are a key component for self-driving cars. Automakers will need to equip vehicles with powerful on-board supercomputers capable of processing inputs from multiple sensors to precisely understand their environments. Adding detailed maps to this equation simplifies the problem — by giving the car a better sense of where it is, and what’s coming next.
Of course, you never really know what your technology can do without a little competition. So not only will the ROBORACE Championship — the first global autonomous motor sports competition — be powered by our DRIVE PX 2 AI supercomputer, we’ll also be the first team to enter the championship series.
- NVIDIA
English summary
The self-driving race cars of Roborace will have a brain from Nvidia
The autonomous race cars in the upcoming Roborace driverless racing series will use Nvidia’s Drive PX 2 supercomputer as a brain.
The PX 2, which was announced back at CES in January, uses 12 CPU cores to produce eight teraflops of computing power and 24 trillion operations a second. It can combine information from a wide array of sensors, including radar, LIDAR, cameras, GPS, and high-definition maps. Roughly translated, that means it’s a very, very smart car.
Driving on a known entity like a race track should make things a little easier for the car, but since they’ll be trying to get to the finish line as fast as possible — 20 cars will compete in a one-hour race — it’s not nearly as simple as driving down the highway.
Nvidia has been aggressively developing its autonomous driving tech and its CES keynote this year focused heavily on the topic. Getting involved with Roborace serves up a great publicity platform for the company, and operating in a controlled environment like a race track could act as a strong development testbed for the Drive PX 2.
Source et images :
NVIDIA
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